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LETTRES MISSIVES

1608. - no ocrormz. - Ilm. ’ Cop. -~ Archives de l’hôtel de ville de Caen. Envoi de M. de Formeville, correspondant I du ministère de l’instruction publique. A MON COUSIN LE MAHESCHAL DE FEBVAQUES. ` Mon Cousin, Ayant sceu la continuation de vostre bienveillance à R fendroict des peres Jesuistes, dontje vous sçay tres bon gré, je vous _ dirayque j’ay juge estre à propos d’en, voyer deux d’entre eux par i delà pour terminer faffaire du college de ma ville de Caen, tant à ce qui regarde la fondation perpetuelle dont fon doibt traicter avec les magistrats, cbefs et habitans de ma dicte ville, que pour leur demeure, cha elle et habitation`, ue l’on m’a dict ne ouvoir estre P fl P plus commodernent q11’en foflicialité ; et d’utant que vostre faveur et protection y sera tres utile, je vous prie de la leur continuer, et i tesmoigner à tous ceux que besoin sera que c’est chose que je desire _ pour la perfection d’un si bon œuvre : priant sur ce Nostre Sei- gneur, vous avoir, mon Cousin, en sa saincte et digne garde. Escript il Paris, le x° jour d'octobre 1608. `, HENRY. ‘*._ ma tomems. - 1608. — io oc'ronms.—llI'““. _ Cop. — Archives de l’hôte1 de ville de Caen. Envoi de M. de F ormeville, correspondant du ministère de l'instruction publique. A NOS CHERS ET BIEN AMEZ LES MAIRE ET ESCHEVINS DE NOSTRE VILLE ` DE CAEN. Chers et bien amez, Nous envoyons en.nostre ville de Caen deux p des peres Jesuistes, avec nos lettres closes tant à nostre cousin le mareschal de Fervacques‘, au s' evesque de Bayeux, que au chapitre ‘ C’esL la lettre précédente. `