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de la part du dict Sainct-Germain que du baron de la Force, en- M . semble toute voie de faict et port d’armes, vous transportant, pour cest ellect, sur les lieux et y apportant tout ce qui despendra de vous. Ferés defense en mon nom aussy aux dicts sieur et dame de Sainct—Germain de passer oultre au mariage, jusqu’à ce qu’aprés avoir veu l’advis et deliheration des parens, je leur aye faict sçavoir ma volontér et n’oublierés à me donner advis, par le retour de ce courrier, de ce qui s’en sera ensuivy et de ce que vous aurés laict en Yexecution du contenu de ceste—cy : laquelle je liniray, priant Dieu, Mons" de Parahelle, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Es- cript à Paris, ce vf octobre 1608. =• HENRY. ° aauuurr. _ I 1608. --7 oorosam. _ Imprimé. — (Econœnics royales, édit. orig. t. III, ch. rl ;. ` [AU DUC DE SULLY.] I i i Mon Cousin, J'ay sceu parvostre lettre du v°‘ de ce mois les dif- Iicultez qui ont_ esté formées en Yassemblée de mes subjects de la religion pretendue réformée, sur la garde des places de Montandre et Tartas, lesquelles y ont accroché les aflaires ; ce que vous aves re- monstré sur cela, et Yexpedient qui a etsé proposé pour les contenter avec les interessez aux dictes places. Sur quoy je vous diray que je desire qtfils resolvent et achevent premierement et sans remise ce pour quov j’ay permis et ordonné la dicte assemblée, alin que chascun se separe et retire au plus tost en sa maison, et que vous les ass6u— riés, pour le regard des dictes plaiiictes, que les comprenant dedans le cahier des requestes et supplicationsiquïls doibvent me presenter, ‘_Les OEconomies royales donnent ici,: le Roi, en y répondant le 7, aurait écrit A : le vx'. Mais la lettre de Sully qui s’y trouve vostre lettre d'hier. Dlailleurs, on xfaurait imprimée auparavant rectitie cette erreur. pu venir alors de Jargeau à Paris en un Si la lettre du ministre eût étédatée du 8, jour.
