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DE HENBI IV. 607 comme vous. Bonjour, mon tout. Je te baise lun million de fois. Je te prie, ne me parles plus de mains. [1608. -- 21 sEx> rEMBnE.]—II“"’. Orig. autographe. — Biblioth. de l‘Arsenal, Ms. Histoire, n° 179, t. II. [A LA MARQUISE DE VEHNEUIL.] Nous partirons demain pour aller à Melun, et lundy à S*-Maur, s’il plaistà Dieu. Il ne faut point craindre que l’on resolve rien de ces parties que l'on veut faire, devant que j’arrive à Paris ; car de trois sepmaines la conclusion ne s’en fera. Ce n’est plus à nioy à tesmoig gner si je vous .... .1, je l’ay assez faict paroistre, mais bien a vous à m’oster l'opinion qu’avec raison j’ay, que vous ne m'aimés pas. Je vous baise cent mille fois. ` l608. — 28 SEPTEMBRE. — I'*’. Orig. - B. I. Fonds Béthune, Ms. 8965, fai. i ». A 'MON COUSIN LE CARDINAL VISCONTI. A Mon Cousin, L’afi’ection que je vous porte et le desir que j’ay de vous en rendre preuve meritent bien que mon nepveu le duc de Nivernois et de Betbelois, pair de France, gouverneur et mon lieucte— nant general en Champaigne etJBrie, que [envoye prescntement a Home prester en mon nom Yobedience à Nostre Tres Sainct Pere le ` Pape et au Sainct Siege, vous visite de ma part pour vous en faire . nouvelle declaration ; de quoy me promettant qu'il s’acquittera en conformité de mon intention, je ne vous en diray davantage : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript A à Paris, le xxvuf jour de septembre 1608. il A HENRY. 9 enuranr. ' Ainsi ponctué dans l'origin.al., _