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I DE HENRI IV. 601 de tout mon coeur, et qu’il face de vous et de vostre fils ce que j'en _ desire, vous asseurant q11e personne au monde ne vous aime tant que `

HENRY.

[1608.]— ll snrrnunan. Imprimé. — OEcon0mics royales, édit. orig. t. III, ch. 23. — [AU DUC DE SULLY.] i Mon amy, Jlay iaict entendre au s' de Bullion, qui vous rendra ceste-cy, mes volontez et intentions sur les deux vostres dernieres, de quoy je vous prie de le croire. Et pour le faict d’Antibes, puisque m' du Maine et ceux d’Antibes me veulent survendre leur terre, je leur permettray de la vendre à qui ils voudront, mais je mettray un gouverneur dans la place à ma devotion, qui leur donnera de la peine en la jouissance de leur bien. Vous m’aves faict plaisir d’accommo- - der l’afl’aire de m’ d’Esguillon et de Balagny. A Dieu, mon amy. Ce xf septembre, à Monceauxl. i [ HENRY. 1608.-il ; ssrrnmsan. Orig. — Biblioth. de la ville de Metz. Envoi de M. Clercx, bibliothécaire. [AU CARDINAL DE GIVRY.] Mon `Cousin, A ant esté advert des no ces de mon ne veu le Y Y P P prince de Toscane, qui se doivent bientost faire à Florence, je de- sire faire trouver en mon nom ersonne de‘merite our tesmoi- Y P P gner au Grand Duc et à la Grande Duchesse la part que _]’ay au con- tentement qu’ils reçoivent de ce mariage, tant à cause de la proximité dont eux et toute leur maison m’attouchent et la Royne ma Femme, que pour Yamitié que je leurporte ; au moyen de quoy, je veuxque ' ‘ Cette lettre était de_la main du Roi. LETTRES DE HENRI lV —VH. -