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. DE HENRI IV. b 597 me faire service agreable. A Dieu, mon Cousin, lequel je prie vous avoir en sa saincte et digne garde. Ce xxnj° aoust, à Paris. ` j - HENRY. _ I 1608. —— 27 Aoûr. Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. III, chap. 23. [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Je vous prie d’employer dans le premier comptant que _ vous ferés dresser au tresorier de mon espargne pour l’an11ée pre- sente la somme de trente—quatre mille pistoles que je dois à Edouard Fernandés, qu'il m’a prestées et mises en mes mains. A Dieu, mon " amy. Ce i :xv1j° aoust 1608, à Parisl. HENRY. . I 1608. — 3 SEPTEMBRE. Orig. — Archives des Médicis, légation française, liasse 3. Copie transmise par M. le ministre _ de France à Florence. _ A MON ONCLE LE GRAND DUC DE TOSCANE. Mon oncle, La veufve du feu s' de Jalcy m’a faict entendre qu'elle j et ses enfans ont bien besoin de quelques biens qu’il possedoit en vostre Estat de son vivant, et que par vostre moyen et auctorite elle les pourroit recouvrer. C’est pourquoy, `me ressouvenant des bons et agreables services que le dict feu s' de Jalcy m’a faicts et rendus _ es dernieres guerres, je vous prie de vouloirouir sa dicte veufve et enfans en leurs justes requestes, et leur faire administmnpar vos of- ficiers vostre acçoustumée bonne justice, en sorte qu’elle puisse dire que vous aurés eu bien agreable ceste mienne priere et favorable ` recommandation, aprés laquelle je prieray Dieu qu’il vous ayt, mon I Ce billet était de la main du Boi. ' F .