requis pour le bien et soulagement de mes subjects, et ayant laict le
don à la Pioyne ma femme de la finance qui en doit provenir, je vous
fais ceste lettre alltin que, suivant la lettre d'e jussion que j’en_envoye
à ma dicte court, vous facilities de tout vostre possible la verification
du dict edict, qui ne peut estre retardée par l’interest des particu-
- liers de la dicte chambre, ou les oppositions ou traverses desquels
je ne veulx avoir lieu, ainsy que vous le ferés plus particulierement
entendre à ma dicte court, fasseurant que je tiendray a service tres
agreable le contentement qu’ils me donneront en ceste occasion.
comme je seray tres desplaisant de m’y faire obeir parvaultre voye
s'ils en vienent à un nouveau refus. Je rie Dieu, Mons' deVerdun, `il
P qu
vous ayt en sa samcte et digne garde.
A HENRY.
. `[ICOY.] — CVI'". Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange.
[A L’ABBÉ DE S"-HUBERT.] _
Mons' l’abbé Ide Sainct—Hubert, J’ay receu les deux couples de chiens et le couple d’oiseaux que vous m’avés envoyez, et comme _i’ay pris en bonne part ce tesmoignage de la continuation de vostre bonne volonte, je desire qu’il se presente occasion de le recognoistre. Je prie Dieu, Mons' l’abbé de Sainct-Hubert, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. ‘ ~ HENRY. _ [l607.]—CVII’“°. [ Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [AUX BOUBGMESTRES DE ..... ] .,, . Tres chers et bons amys, Ayant esté advertis de certain procès pendant par devant vous, entre Jacob de Courcelles, retenu prés le