_ ' l DE HENRI IV. 421 Vostre dicte Saincteté, pour l’amour de nous, [à ce] que raison et satisfaction en soyent faictes au dict Valette, comme l’en prions et requerons tres affectueusement, et Nostre Seigneur, Tres Sainct Pere, qu'icelle Vostre dicte Saincteté il veuille maintenir et preserver lon- guement et heureusement au bon regime et gouvernement de notre mere saincte Eglise. . Vostre devot fils,
i [1607.] —XXV"‘°. 4 Cop. — Archives de M. le marquis dela Grange. ` [A M. UHALLINCOUBT.] Mons' d’Hallincourt, Je vous ay envoyé un memoire que m’a l’aict hailler la comtesse de Chasteau-Vilain‘, par lequel vous cognoistrés plus particulierement que par ceste lettre, l’instance qu’elle m’a sup- plié vouloir faire à Nostre Tres Sainct Pere le Pape, pour- luy ` mo enner a reine ran e en a `ouissance es iens e ossessions y l L g d l _] d b t p qui luy doihvent appartenir au royaume de Naples, à cause des suc- cessions e ses pere e mere, et en escris a ainc e e a e re on d t àSS tvlludt je vous envoie la copie, laquelle vous luy presenterés quand vous jugerés qu’il sera à propos, aflin que le comte de Chasteau-Vilain, i qulelle a resolu d’envoyer en Espagne pour en demander justice, soit assisté en ceste occasion des recommandations de Sa dicte Saincteté, laquelle fera un hon `œuvre, et au benelice duquel je participeray, pour le desir que j’ay de les gratilier en l'equité de leurs pretentions. Je prie Dieu, Mons* d’Halincourt, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. ” _ HENRY. ‘ Sur les comtes de Châteauvilain voyez ci-dessus, t. VI, p. 325.
