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S9!1 LETTRES MlSSlVl*iS l`€SS€l1l.ll]'l€l1là ue nous aurons de ce lion œuvre, ains ue vous le dira Y plus amplement le s' dHal l1ncourt nostre ambassadeur : sur lequel nous remettans, nous rions Dieu, Tres Sainct Pere, c u’icelle Vostre l dicte Saincteté 1l veuille maintenir et preserver longuement et lieu- reusement au bon regime et gouvernement de nostre mere saincte Eglise. Voslre devot His, i i HENRY. _ [IGO7.] ¥— 30 Novmiene. — l."". ’ Orig. autographe. — Biblioth. de la ville de Metz. Envoi de M. Clercx, bibliothécaire. [IAU CARDINAL DE GIVBY.] Mon Cousin, Vous s aures encore de mon ambassadeur ce ue ie ç ll .l luy mande sur la vacation de l’evesché de Metz, et est s1.u venu ‘ depuis le parlement du premier courrier que _i’ay envoyé vers luy pour cet ellect'; vous priant vous accommoder de ce changement pour les raisons qu’il vous dira ; et vous me donnerés occasion de vous en scavoir bon gré, et de favoriser ce qui vous concernera, ainsy qu’il vous exposera plus particulierement. A Dieu, mon Cousin. Ce dernier novembre, à Fontainebleau. HENRY. • l Il y eut beaucoup de lluctuations au fusa. Seulement le cardinal de Givry, en sujet de cet évêché. La marquise de Ver- prenant possession de ce siege, agréa le neuil insistait pour que son fils fût immo- jeune prince pour son futur successeur, diatement titulaire malgré son bas âge (il avec Yagrément de Sa Sainteté. n’avait que six ans); mais le Pape s’y re-