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DEIIENBI IV. 37I sœur, je luy ay commandé de luy rendre ceste lettre et vous faire entendre la part que je veuxiavoinau ressentiment que vous en avés eu en vostre particulier, et vous asseurer en oultre de la continuation de la bonne volonté que je vous porte, et des ellects que vous en fera paroistre en toutes occasions Vostre afïectionné et bon oncle, I i HENRY. ' . Ce Vlll° octobre, à Paris. A [1607. —g oc1 oenE.‘] i Imprimé. — Olïconomies royales, édit. orig. t. III, ch. ah. [AU DUC DE SULLY.] • Mon amy, Bretauville est enfin mort. Je me suis souvenu de Mont- martin, comme je vous avois promis, pour sa pension du petit estat. Il n’y a pas faulte de demandeurs ; mais que je vous voye, je vous diray à quoy je m’en suis resolu. Pour mon desplaisir particulier, il dure toujours. Si vous estiés icy vous en seriés bien en colere, et en diriés bien vostre opinion. Le pauvre m' de Denteville est mort?; c’est grand dommage. Je me porte fort bien, Dieu mercy, vous aimant comme vous le merités. La seconde lille du roy estmorte °. A Dieu, mon amy ; c’est vostre bon maistre. . » HENRY. _ ‘ Cette date est fournie par un ancien .. dont il est si souvent question, dans cette ms. des (llïconomies royales. correspondance, était mort le i" octobre. ’ Joachim de Dinteville, lieutenant gé- 3 La seconde fille du roi d’Angleterr<—. néral au gouvernement de Champagne, (Voyez la lettre précédente.) 47.