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DE HENRI IV. [1607.-zo SEPTEMBBE1.l—IIm°. _ Cop. — - Archives de M. le marquis de la Grange. [AU PAPE.] n i Tres Sainct Pere, Le contentement que nous avons du bon procedé que nostre tres cher cousin le cardinal Barberino a tenu pres de nous durant la charge de la nonciature que Vostre Sainctete luy avoit com- mise, meritant bien que nous tesmoignons à vostre dicte Saincteté ses bons et vertueux deportemens et de quelle affection et equanimité il s’y est conduict en toutes occurrences, nous avons commandé au s‘” d'Hallincourt, nostre ambassadeur, de luy en rendre compte par- ticulierement et l'asseurer que nous sommes tres satisfaicts des actions ' d’un si bon et sage ministre. Nous la prions et requerons de luy en faire paroistre sa gratitude et recognoissance aux occasions qui se pre- - senteront. De quoy nous remettans en ce que luy en representera plus amplement nostre dict ambassadeur, nous prions Dieu, Tres Sainct Pere, qu’icelle vostre dicte Saincteté il veuille maintenir, garder et pre- server longuement et heureusement au bon regime et gouvernement de nostre mere saincte Eglise. Vostre devot (ils, HENRY. . ` [1607. 4- SEPTEMBBE.] — I". _ Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. i [AU LANDGBAVE DE HESSE.] Mon Cousin, J’ay receu la lettre que vous m’avés escripte le pre- mier jour d’aoust par le is' Widemaker et entendu de luy la creance que luy avés commise, et depuis j’ay eu celle du XVl11c du dict mois, par laquelle j’ay esté bien aise d’apprendre que Dieu vous ' Voyez ci dessus, p. 355, la lettre du mois d’août au comte de Joigny. ‘ âôl î