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DE HENRI IV. 361 qu’il ne le pourra sur les lieux, comme j’eusse bien desire : priant Dieu, Mons' de Fresnes, qu’il vous ayt en sa saincte garde. i _ HENRY. _ _ [1607.] ——ig ssrrnimns. —Iî°. . Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. III, chap. 6. [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Je vous prie de faire distribuer les cent cinquante mille livres qui se payeront pour la composition des Iinanciers, et les soixante mille livres pour la continuation du bail du sel pour la sixiesme année, selon que j’ay arresté, à sçavoir : pour Facquisition i de Moret, quatre—vingt—quatre mille livres ; pour moy, trente-six mille livres ; pour ma femme, douze mille livres ; pour vous, IDOII amy, autres trente mille livres, et pour le s' de Versenayl, dix—l1uit mille livres. Et ceste—cy n’estant à aultre fin, Dieu vous ayt, mon amy, en sa garde. Ce XIXe septembre, à Paris?. HENRY À [1607.} — ig serremsas. — Ilm.- ` Imprimé.—œconomies royales, édit. orig. t. III, cb. il :. ` [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Suivant ce que je vous dis hier touchant m' l’evesque ` de Carcassonne], je vous Iais ce mot à ce que vous luy baillés une ’ Jérôme Cauchon, seigneur de Ver- venait déjà des Cauchon par une alliance. zenay, cl’EsI :rée au Pont et de Thiernut, ’ Cette lettre est placée à Vannée 1606 gouverneur de Château-Portien, fils aîné dans les (Economies royales, par une de de Claude Cauchon et de Marie Goujon. ces erreurs qu'0n y rencontre fréquem- .Il vendit, en 1623, à M. de Puisiewn, sa ment. En 1606 Henri IV ne quitta point terre de Verzenay. Les Brulart joignirent Fontainebleau de tout le mois de sep- ainsi cette terre à celle de Sillery, qui leur tembre. ' Christophe de l'Étang, alors évêque avons donné une note à son sujet, t. IV, de Carcassonne, avait d’abord été évêque p. Mg. de Lodève. C’est sous ce titre que nous LETTRES DE HENRI IV- *VII [L6