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DE HENRI IV. i 357 i 1607. — 5 srrrsninm. Co . — B. I. Collection Lnmoi on, re istres du Parlement, séance du 5 se temhre xôo . P En 5 P 7 [AU PARLEMENT.] De par le Roy : Nos amez et feaulx, Ayant pieu à Dieu appeller nostre tres cher et l’eal le s‘” de Bellievre, chancelier de France, et desirant singuliere- ment honorer la memoire diun personnage de telle qualité, tant pour les recommandables services u’il a faicts à notre Couronne ue our (l cl le grand rang_qu’1l tenoit, estant l’un des principaux olliciers d`1celle ; et d’autant qu’à l’occasion des vacances plusieurs de nostre parle- ment pourroient ignorer ceste mort, nous voulons et vous mandons u’a és à faire assembler le lus u'il vous sera ossihle des vens de 2: nostre dicte court, afin de comparmr et vous trouver aux olîiseques et liunerailles du dict s' de Bellievre our marcher en cor s, et rendre ~ P • ar vostre rescnce llassemhlee lus solemuelle et autnn ue ; s, n’ P faictes faulte : car tel est nostre plaisir. Donne à Paris, le v“ Jour de septembre 1607 '.

HENRY.

‘ Cette convocation par lettre dc ca- sonnage qui, avant d'être placé à la tête clt n’est point une lettre missive. Nous de la justice de France avait eu avec la donnons ici, par une rare exception, Henri IV, même dès le milieu du règne dabord parce qu’elle rectilie la date de la précédent, des relations directes et sui- mort du chancelier de Bellièvre, que les vies sur des matieres fort importantes. En- biographes placent ordinairement un on lin, c’est une époque, dans la chronologie deux `ours lus tard ; ensuite, vu la haute de ce rè ne, sous le uel il eut trois J P S *1 Y position et la puissante inlluence du per- chanceliers.