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DE HENRI IV. 355 la dicte charge. Aussy n’espargneray—je aucun oflice qui puisse vous y faire recevoir le contentement que vous y devés attendre de mes olliciers et ministres, qui contribueront tousjours, en conformité de mes intentions, ce qui sera de leur debvoir à Yexecution de mes vo- lontez et commandemens, ainsy que vous cognoistres par eflect et que vous dira plus amplement le s’ d'Halincourt, mon ambassa- deur ; sur lequel me remettant, je prie Dieu, mon Cousin, qu'il vous ayt en sa saincte et digne garde. ° ( HENRY. [1607. —Aoûr.]—II"‘°. Cop. —— Archives de M. le marquis de la Grange. [AQ COMTE DE JOIGNY.] Mons' le comte de Joignyk Mon cousin le cardinal Barberino fait estat de partir d’icy le xx° septembre pour retourner à Bome, et m’ayant supplie de le faire accommoder d’une de mes galeres pour la facilité de son passage, je vous escris ceste lettre alin quïncontinent la presente receue vous la faciès preparer et mettre en estat, de sorte ` qu’à son arrivée en ma ville de Marseille il la trouve preste pour son embarquement, mladvertissant au plus tost de l’ord1‘e que vous y aurés donné. Je prie Dieu, Mons' le comte de Joigny, qu’il vous ayt en sa saincte garde. ' HENRY. ‘ Philippe-Emmanuel de Gondi, comte Gondi, duc de Retz, et de Catherine de de Joigny, marquis de Belle—Isle, baron Clermont. Son frère puîné, Jean—Fran- de Montmirel, seigneur de Dampierre et cois de Gondi, fut le premier archevêque de Villepreux, chevalier des ordres du de Paris. De son mariage avec Marguerite Boi, capitaine de cent hommes~d’armes de Silly, dame de Commercy, [ille du de ses ordonnances, général des galères comte de la Rochepot ; le comte de Joi A de France, lieutenant général ès mers du guy ‘eut trois fils, dont le dernier fut le Levant, était le troisième fils d’Albert de fameux cardinal de Retz. ` A5.