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DE HENRI IV. 319 [1607.] —— ig Juirrrrr. — I11"‘“. Orig. autographe. —B. I. Fonds Béthune, Ms. 9I38, fol. 31. . Cop. —— Suppl. Tr. Ms. 1009-4. A MADAME DE MONTGLAT. Mad° de Monglat, Ayant permis à m‘“° la marquise de Verneuil de voir ses enfans, je vous en ay bien voulu advertir par ce mot, que je vous fais exprès par ce lacquais, pour vous dire que lorsqu’elle sera arrivée à Poissy et vous mandera qu’elle"‘desire de les voir, vous per- mettiés que l’on les luy meine, mesmes qu’i1s soyent avec elle deux ou trois jours si elle veut ; comme aussy, si elle desire de vous voir, je trouve bon que vous alliés jusques au dict Poissy faire un tour. En- cores que _i’espere de voir mon fils et ma lille en brel`, cependant vous ne lairrés de me mander de leurs nouvelles, par le retour de ce lacquais. A Dieu, Mad': de Nlontglat. Ce XIXQ juillet, à Monceaux. HENRY. _ [1607.] — 20 Joirrnr. —1'°. Orig. autographe. - Biblioth. impériale de Saint—Pétersboux g, Ms. 886, lettre 3g. Copie transmise par M. Allier. A MONS“ DE SILLEBY. canne ses sceaux nx-: ramer :. Mons' de Sillery, Estant icy pres de moy, je vous ay faict entendre ce qui estoit de ma volonté et intention sur le don que _i’ay faict à mm la comtesse de Moret de la premiere finance qui proviendra des estats de marchans vendeurs de bestail que je veulx estre establis en mon pays de Normzïlie, et sur ce qui en reste à pourveoir au parle- ` ment du pays, allin e le faire entendre à m' le chancellier pour en sceller l’edict et les expeditions necessaires pour cest effect. A quoy je vous prie de tenir la main et y apporter tout ce que vous pourrés, mesmes de le faire resoudre en mon conseil, s’il en est de besoin,