baye de Sainct—Guildan, m’ayant faict plaincte que la dicte resigna-
tion a esté extorquée par force, et que son fils est encore à present
retenu au chasteau de Sussivir contre la liberté de mes subjects, je
vous escris ceste lettre pour vous dire que [ay ordonné qu’il ne sera
passé oultre à l’expedition de la dicte resignation que je nlaye esté
plus amplement informé des moyens que vous y aves tenus. Par tant,
vous m’en viendrés rendre compte, et aprés que je vous auray ouy
sur la dicte plaincte j’y leray pourveoir ainsy que _]dviseray raiso-
nable. Je rie Dieu, Mons' de Monti n, u’il vous a t en sa saincte
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et digne garde.
[1607. —— vsas LE MILIEU nn paumés.] — X'". Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. ~ [A M. D'HALLINCOUBT.[ Mons" d’Hallincourt, J’ay nagueres accordé au s' de Montigny la q resignation de l’abbaye de S‘-Guildan, en Bretagne, faicte par maistre Constantin Chevalier faveur du fils du dict Montigny ; et parce que ' l’on m’a faict plaincte que la dicte resignation a esté extorquée et que je desire garder les droicts des parties, je vous escris ceste lettre, atlin que vous arrestiés Pexpedition de la dicte resignation et difïeriés de vous y employer jusqu’à ce que je vous en aye faict aultre com- mandement. Je prie Dieu, Mons' d’Hallincourt, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde.
[1607. —— vaas LE MILIEU DE w.1v1v1éE.[ — XI". . Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [A M. UHALLINCOUBT.] Mons" d’Halincourt, Je vous avois cy—devant escript de faire instance auprés de Nostre Sainct Pere en faveur du prieur de Schuynes pour le _
