Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/315

Cette page n’a pas encore été corrigée
298
LETTRES MISSIVES


ment et heureusement au bon regime et gouvernement de nostre mere Sainte Eglise. Vostre devot fils,

HENRY.

[1607. —— JUIN.] —I". Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. A NOS TRES CHERS ET BIEN AMEZ LES DOYEN, CHANOINES ET CHAPITRE DE SAINCT JEAN DE LATRAN A ROME. Tres chers et bien amez, Le s' d’Halincourt, nostre ambassadeur par delà, nous ayant bien particulierement represente Yallegresse que vous aves faict paroistre, non seulement en particulier, mais pu- bli uement en vostre e lise, sur l’occasion de la naissance de nostre ‘ ‘l S tres cher fils le duc d’Orleans, oultre ce que nous en avons appris par vostre lettre du vme de may, nous vous avons bien voulu faire sçavoir par ceste-cy, que comme ceste demonstration publique que vous aves faicte d’a(}`ectionne1 le bien et prosperite de nos affaires nous a este tres agreable, nous desirons qu'il se presente occasion de . vous continuer les effects de nostre bonne volonte en tout ce qui s'of- Frira pour le bien et advantage de vostre dicte eglise et chapitre, ainsy que nostre dict ambassadeur vous dira plus amplement. Je prie Dieu, Tres chers et bien amez, u’il vous a t en sa tres saincte et di ne il Y S _ garde. “ HENRY. [1607. —— JU1N.]—lI“"’. Cop. - Archives de M. le marquis de la Grange. . [A M. UHALINCOURT.] Mons' d’Hallincourt, Au mesme temps de la reception de vostre lettre du 11° may, j’ay este adverty par le s' de Chevrieres de la dif- Bculté qui se rencontre par delà touchant l’evesché de Grenoble,