C 296 LETTRES MISSIVES [ auquel j’ay eu beaucoup de regret. Tay donné la charge qu’il avoit à W ' Lyon au s' d’Halincourt, en qualité de lieutenant general au gouver- nement en l’absence de mon fils le duc de Vendosme. C’est tout ce que je vous diray pour ceste fois : priant Dieu vous avoir, mon Q Cousin, en sa saincte garde. Escript à Fontainebleau, ce xxv1_]° jour de juin 1607.
' roncrzr. A [1607.] — 28 wm. Orig. autographe. — Communication de M. le comte Daru. A MONS“ DE SAINT-GERMAIN. Mons' de S*-Germain, Ayant eu advis par le s' de Schomber que vous et le s' de S‘-Georges vous vouliés quereler, je luy ay commandé de s’y opposer de tout son pouvoir et apporter ce qui est de mon auctorité, veu la charge qu’il a en Limosin pour mon service, pour accommoder vostre dilierend ; de (1110y vous le croirés comme moy- 'A mesme, et que j'auray à plaisir d’enten<lre que vous aurés satisfait au desir e "a de voir ceste aH’aire acommodée au contentement de ' qu J Y . . . . vous et °de vos amys, vous allectionnant comme je fais. A Dieu, Monsfde Sainct—Germain. Ce xxv11j° juin, à Fontainebleau. ` HENRY. [1607. —— vnns LA rm DE JU1N.]—I'°. Cop.-- Arch. de M. le marquis de la Grange. [AU LEGAT D’AVIGNON'.] j Mon Cousin, T ay eu- à plaisir d'entendre par vostre lettre du V'11° de may que vous avés restably le peage de la riviere du Rosne en l’estat qu'il estoit, suivant celle que je vous avois escripte. Maintenant vous Cette question du péage du Rhône, gatd'Avig non (voy.ci-dessus, au 23 avril), déjà traitée dans une lettre au chef d’un nous couduità suppléer encorede la même État étranger, qui nous- a paru être le le- manière Yadresse de cette lettre-ci. Toute-
