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en faire de ma part, y tenant la main de vostre costé comme à chose ` que desire et aflectionne ; et vous me fcrés service tres agreable. . Je prie Dieu, Mons' do la Court, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde.
•; 1607. — 15 JU1N. À Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. I - ' [AU CARDINAL DU PEBBON.] . Mon Cousin, .l’ay cy-d evant envoyé au s" d'Halincourt, mon ambas— sadeur, le pouvoir que je luy ay faict expedierl pour retirer des mains du s' Bucellay les bagues et joyaux qu’il tient en gage de ceste Cou- i ronne il y a longues années, aprés toutes fois l’avoir faict rembourser des deuxcens quarante mille livres qu'il luy faut, suivant l’ordre que j’ay prescript à mon dict ambassadeur par l’instruction que je luy ay Yaict bailler pour cest effect ; et parce que je desire avoir les dictes bagues et joyaux a vostre retour,' en cas que vous parties de Home avant luy, j’escris a, _mon dict ambassadeur que quand il aura terminé cest aiiaire avec le dict Hucellay, il les vous fera consigner i pour me les apporter vous-mesmes, n’ayant peu choisir personne pour cest ellect en qui j’en doive avoir plus de confiance, pour les tesmoignages que vous n1'avés rendus de vostre affection et iidelité. Par tant vous ne lerés difficulté de vous en charger et les prendre ' des mains de mon ambassadeur, si vostre dict retour devance le sien ; et quand je vous verray jeivous en feray bailler telles descharges que vous desirerés : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau, le xv° juin 1607. — ` i, HENRY., ’ La lettre d’envoi de cepouvoir est et conçue à peu près dabs les mêmes transcrite également dans les cahiers de termes, ainsi qu’une lettre antérieure au M. de la Grunge. Elle est de même date cardinal du Perron sur le même sujet. . i Q
