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DE HENRI IV. * 15 i terce° qui est en Savoye, tué, et lautre, nommé Thores. Spinola _ va à Meurs, etle prince Maurice ne fait rien qui vaille ; voilà tout ce queje sçay. Je pensois vous envoyer ceste-cy par la Tour, qui m’avoit apporté celles de la Rochebeaucourt pour vous et pour moy. Mais pour ce que venant il est tombé et s’est tout froissé, je la vous envoye par ce porteur exprès. A Dieu, mon amy. Ce x° octobre, à Fontainebleauï . I HENRY. ` [1606.] — 1_1 OCTOBRE.- ° . A Orig. autographe. — B. I. Fonds Bétlime, Ms. 9090, fol. 3. i I Cop. — Supplrfr. Ms.œ09-2. _ A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRANCE. '_ Mon Czompere, Vous entendrés de mes nouvelles par Fosseuse, `qui ` vous rendra ceste-cy, et comme ma femme, mon fils, mes autres en- fans et moy nous portons bien ; qui sont les meilleures nouvelles que je vous puisse mander, et vous seront aussy agreables, et pour lin, _ aprés vous avoir recommandé le dict Fosseuse en llaffaire que vous sçavés et duquel il porteles depesches, vous asseurer que je vous aime bien, A Dieu, mon Compere. Ce x_;° octobre, à Fontainebleau. i . ' HENRY. . 1606. — 15 ocromzn. — I". i _ `Orig. — B. I. Suppl. fr. Ms. 4851, fol. id. i, . A MON COUSIN LE CARDINAL DE JOYEUSE. _ LEGAT DU SAINT SIEGE APOSTOLIQUE. Mon Cousin, J’ay entendu du s' de Villeroy les propos qui se sont passez entre vous et luy, devant vostre parteinent de ce lieu, sur le subject du dilierend quil est entre Nostre Sainct Pere` et les Venitiens, et depuis receu les depescbes de Rome et de Venise, par lesquelles ‘ Régiment espagnol. ’ Cette lettre était de la main du Roi.