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l DE HENRI IV. 269 poinct payé de neuf cens livres de pension quüje vous ay accordez sur larchevesché d’Arles, J’8.VOlS, auparavant lagreception de vostre lettre du xxx° avril, commandé qu’il y inst pourveu à vostre conten- i _ tement, n’entendant que la dicte pension puisse estre saisie ou arrestée pour les dettes du dellunct cardinal de Santa-Croce, vostre oncle, et y tiendray la main à l’advenir. Par tant continues, à l’exemple de vos 4 predecesseurs, en la mesme aliection que vous avés faict paroistre au bien de mon service, et je le recognoistray, aussy bien que le tesmoi- na e ue vous m’en aves rendu sur la naissance de mon lils le duc g (I d’Orleans, dont je vous scay tres bon gré, ainsy que vous dira mon dict ambassadeur. J e prie Dieu, Mons' de Santa-Croce, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. . HENRY. ' . [1607. — coMMENci :MEN r 1>E`.iU11v.] A Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [AU CARDINAL DU PEBBON.] . Mon Cousin, J'ay advisé pour certaines considérations qui im- portent a mon service, de vous rappeller de Rome, et en escris pre- sentement à Nostre Tres Sainct Pere le Pape la lettre que j’envoye au s' dllalincourt, mon ambassadeurl, pour luy donner plus accés auprés dSS ttàf 1*Hî bl ub]tPtnt_] e a aine e é i aire o ce convena e sur ce s `ec . ar a, `e i si ruusos ereurnrv m,ùv vous revou ds ose a pl t td to e ers o 0 ous ' serés le tres bien venu ; et vous tesmoigneray de bouche le contente- ' ment qui me demeure des bons services que vous m’avés rendus pa1 delà? et le desir que jay de les recognoistre par la continuation des ‘ La lettre au Pape et la lettre à l’am- sévérité excessive. En avançant dans le I.)3.SSûdCUI‘, HC sont (IUC (IB l’OI‘l'I1E\lIlé¤ COUTS (IB CC È[`8.V&Il., DORS trouvons COl'lS se trouvent aussi dans les cahiers de M. de tamment les autres témoignages en con- la Grange. tradiction avec celui—là. L’impression que _ . ' Dans la note que nous avons donnée le cardinal du Perron paraît avoir laissée ci dessus, t. IV, p. 231, sur le cardinal du chez toutes les personnes avec qui il s’est Perron, nous avons cité sur ce prélat un trouvé en relations suivies est l'idée d'un jugement de l'historien 'de Thou, d'une homme supérieur qui réunissait à un tact