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. DE HENRI IV. -, 13 car l’on leur mande de-Paris tout ce que vous dites. Asseurés-vous, . mon cœur, que je vous aime de tout le mien, et avec plus de passion ° que je ne lis jamais. Sur cette verité, je baise un million de lois vos [ lieaux yeux. Ce V1_]° Octobre. i _ D I [1606.] — g ocromus. J Orig. autographe. - Collection de M. Boutron-Cliarlard. Copie communiquée par M. F. Feuille ' ’ ‘ de Conches. ‘ ' I [A LA REINE.] _ M’amye, J’ay couru jusques à la nuict. Une heure aprés je suis arrivé en ce_lieu, fort las ; toutefois resolu de prendre demain celuy qui m’a donné tant de peine au_]ourd’huy. Je m’en vais dormir, fort alteré. Bon soir, mon.cœur, je (embrasse cent mille fois. Ce lX° octobre. _ [ [1606.] — IO ocroenu. i Imprimé. — OEcononiics royales, édit. orig. t. III, chap. vt. ‘, - [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, J’ay ouvert une lettre que la Bochebeaucourtl vous escrivoit, laquelle avec une pour moy, par laquelle il me donnoit advis de la mort du s" des Ajots2 et me demandoit sa charge, et je crois qu’il attendoit de me venir trouver pour me la demander luy- mesme, que Parabere fust dans le pays, qui m’avoit supplie en partant ' Prégent de la Bochebeaucourt, fils de ellet, Henri IV, suivant les habitudes de Jean dc `la Pmochebeaucourt et de J eannc de son écriture, représente ordinairement la Villedon. lettre par un i, réservant l’y pour tous ’ Charles d’Aloue, seigneur des Ajots, les mots où nous mettons aujourdhui non- iils aîné de Jean d'Alou et d' Anne de seulement cette voyelle, mais la voyellei Fontlebon. ll était maire de Saint-Jean- (le mot Dieu e epté)?Toutei’ois dans cette d’Angely, comme on peutlle voir ci dessus lettre de 1605%:3 représenté par l°_y même dans la lettre du il ; mars 1605, où nous la consonne Il faut donc lire en cet en— ` avions lu par erreur des Ayos, d'après l’au- droit (t. VI, p. 371), des Ajots comme tographe de M. le comte de la Loyère. En ici, au lieu de des Ayos.