_ 'DE HENRI lV. 237 les trouveres mauvais, insolens et sots. Mon desseinestoit de luy oster la gloire de Candale et la bisarreriede Tran ; mais j’y ay perdu el tiempo et li dinairea. Vous estes tesmoin que je les ay toujours aimez ; et mon cousin de Rohan vous tesmoignera leur tort. Je seray vostre voisin demain au soir.
‘ Depuis celle-cy escripte, j’ay receu la vostre touchant la proposi- tion pour le rachapt des greftes et d’une partie du domaine ; mais pour ce que je montois à cheval pour aller voir madame de Moret, je n’ay encore veu ce que vous aves respondu en marge du memoire. U Ce sera pour quand je seray de retour. 1 i [1607.]- 11 MM. ' Orig. autographe. À- biblioth. impériale de Saint-Pétersbourg, iMs. 880. Copie transmise par\M. Houat. [AU CHANCELIEB.] Mons'le chancelier, Sur l'advis que j’eus, il y a quelque temps, que le proces que le s’ du Bourdet a contre le comte de Gurson, qui a cest honneur que de nfappartenirl, et duquel le pere et les oncles sont morts en me faisant service`2, estoit rés d’estre `u é en ma court de P j .l g parlement, J’€SCI'1V]S aux p1 es1dens de Blancmesml, de Thou et Verdun d’assister au jugement du dict proces et de tenir la main à luy faire rendre bonne et briefve `ustice et lu conserver son bon droict, mes- .l Y seiller d'état, capitaine de cent hommes père et ses deux oncles avaient été tues en d'armes des ordonnances, était fils de 1580 au combat de Montraveau. Le mar- Louis de Foix ct de Charlotte~Di_ane de quis de Trans, père de ces trois seigneurs, Foix—Candale. Il devint grand sénéchal de était ainsi l’aîeul du comte de Gurson. Guyenne en 1616 et mourut en 1622. Son 3 Le temps et les écus. ‘ Le comte de Gurson était, par son xv° siècle, dans la maison d'Albret. (Voyez père et par sa mère, de la maison de Foix, ci-dessus la note sur lalettre du 8 mai.) dont la branche aînée s`était fondue, au 2 Voyez cette même note.,
