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'I ' . i . DE HENRI IV. 227 [1607. — 3 tm.] - V". Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [A M. DE BUZENVAL.] i Mons' de Bnzenval, Le s' du Sault, ayant depuis quelque temps remis en mes mains la lieutenance colonnelle du regiment du s" de Chastillon, j’y ay destiné le s’ de Bocques, que vous cognoissés, pour Yasseurance que _i’ay' qu’il me servira dignement ; et maintenant le A dict du Sault sen va par delà pour en prendre congé, aprés que Franchement Iïllü faiçt sçavoir que ces Seigneurs et mon cousin le prince Maurice, auquel jlen avois escript, se conformeront en cela à mon- intention. Par tant, lorsque vous serés sur les lieux vous assis- terés le dict du Sault ceste action et vous emploierés à obtenir les depesches qui en sont necessaires au dict s" de Bocques ; vous assen- rant que vous me ferés en cest endroict service tres agreable., Sur ce, ~ je prie Dieu, Mons' de Buzanval, qu’il vous ayt en sa saincte et digne _ garde. _ I HENRY. . A • l 1607. — 3 MM. — Vl“‘°., I Cop. - - Archives de M. le marquis de la Grange. [A M. DE SALIGNAC, .', _. AMBASSÀDEUR Ã CONSTANTINOPLEJ I i i Mons" de Salignac, J’ay receu vostre lettre du x111° mars dernier, p et mlestonne de l’advis que vous m’avés donné de la deüance qu’a le Grand Seigneur de la continuation de la paix de Hongrie, en laquelle il pense avoir esté trompé, comme vous me mandés ; estant certain _ tout au contraire que la dicte paix a esté de nouveau confirmée par l’Empereur ct ratifiée par ses lettres patentes, de sorte que cela n’ap- L portera aucun dommage à l’estat present des allaires de delà, quelque rejouissance que vous croyiés qu’ayent faict les rebelles, pour l’espe- " 2Q«