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i DE HENRI IV. 9 soyent alterez ny diminuez, comme je vous ay cy-devant escript, vous en. ayant bien voulu] faire ceste recharge, pour vous prier de, tenir la maimque mes dicts ofliciers y satisfacent du toute diligence, i comme à chose que j’ay fort à cœur et que _i’all’ectionne grandement, pom le contentement de Sa dicte Saincteté. Quant aux pretentions . du comte de Montgommery sur le dict cbasteau de Lombetz, puis- qu’elles sont encores indecizes en mon conseil, il faut en attendre le _ jugement deltinitil`, et avés bien Iaict de le remettre à ce qui en suc— cedera ; vous voulant bien dire, pour la fin de ceste-cy, que _j’ay eu à plaisir d’enI :endre, que cenlx de ma court de parlement de Tboulouze ayent rendu à vostre filslhonneur qui lui estoit deub ;?et ne pou-, U voient me complaiire en meilleure occasion. Car- Eaimant et aH’ection— nant comme je fais, pour Tesperance que _i’en ay d’un bon et fidelle ` . serviteur, pour moy et pour mon 'lils, et l'amitié que je vous porte, ‘ je seray tousjours desireux de le voir augmenter et accroistre en - toute prosperité, ainsy que vous et luy cognoistrés par eH’ect : priant . _ Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau, le ‘ jour de septembre 1606. ' — HENRY. ' Bautanr. . 1606. — 6 ocromm. —I". ' " Orig. — Arch. grand-ducales de Hesse Cassel. i i A - Imprimé. — Correspanzlance dc Henri IV avec Maurice lc Savant, p. 328. ' A MON COUSIN LE LANDGRAVE DE HESSE. Mon Cousin, Vostre'lettre du premier du passé, que _i’ay receue le xxi° du dict moys, continue à me donner de» plus en plus des marqueset tesmoignages de vostre affection, tant pour le bien et advancement .` de mes aflaires que pour celuy de la cause publique, laquelle certes je recognois avoir plus besoin que jamais., de Punion et bonne in- ‘ Cette lacune se trouve dans Yoriginal. ' LETTRES DE HENRI IV. —VII. 2