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` v DE HENRI IV. I. A ' .157 q paracheve promptement. Cest pourquoy je vous_f’ais ce mot, _allin • que vous le faciès entendre tant à m' le premier president, procu- _ reur general, que aultres, et que c’est ma volonté que la dicte legiti- mation soit veriliée au plus tost. Et m'asseurant que vous y tiendrés la main comme à chose que je desire, je ne vous•en diray davantage., A Dieu, mons" le chancelier. Ce xitx° mars, a Fontainebleau. HENRY. ni i i i [1607. — visas LA ruvqne mns.] — I". y . ' Cop. — Archives de M. 1è marquis de la Grange. ‘ ' [AUX GRISONS.] _ ` Tres chers et grands amys, alliez et confederez, Ayans entendu par vostre lettre du 11l1° janvier dernier, vieil style, et par ce que nous a i particulierement represente le s" Pascal, nostre ambassadeur, le bon soin que vous apportés à rechercher les moyens de parvenir a1’aa‘a missement de vostre repos et tranquillité, comme nous avons estimé que, continuans en ce bon et louable dessein, il ne vous en peut reussir que tous biens et advantages, inous vous y avons bien voulu conforter par ceste-cy, en vous asseurans que nous en avons receu i tout contentement et consolation, pour la bonne et parfaite amitié que nous vous portons et le desir que nous avons d’embrasser toutes les occasions qui se presenteront de vous en moyenner le bon succés que nous vous en souhaitons, ainsy que vous cognoistréstousjours par — D eflect et que vous diraplus amplement de nostre part nostre dict am- ` bassadeur : priant Dieu, Tres chers et_ grands amys, alliez et confe- derez, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. l `° ‘ HENRY. C