_ lill ; LETTRES MISSIVES les dilierends qui restent entre nous, touchant les limites, et par mesme moyen vous parler de quelques particularitez qui concernent mes subjects des ressorts de Briançon et Ambrun en Dauphiné. De quoy me remettant à ce qu’il vous dira de ma part, jevous prie luy adjouster sur ce subject toute foy et creance que vous pourriés faire à 1noy~mesme, quiîprie Dieu, mon Frere, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. Escript à Paris, le XXVII]': jour de mars 1607. — Vostre bon frere,
1607. — 28 mns. — II". ` Orig. — Archives royales de Sardaigne. Copie transmise par M. Yambassadeur de France à Turin. A MON FRERE LE DUC DE SAVOYE. ` Mon Frere, Envoyant vers vous le s' de Chevrieres, conseiller en mon conseil d'Estat et president en ma court de parlement de Dau- phiné, pour vous renouveller les asseurances de la bonne volonté que ' je vous porte, je luy ay_ commandé de se conjouir avec vous de ma part, du retour de mes nepveux vos enlansl, les voir et visiter en mon nom et leur faire oH’re de la continuation de mon affection en leur enidroit et du desir que jay de leur en tesmoigner les eliects. De quoy me promettant qu'il s'acquittera selon mon intention, je mlen remet- ray en uy e prieray ieu, mon rere, qui vous ay en sa sainc e ‘ 1 1 t D F ’l 1; 1 et digne garde. Escript à Paris, le XXVII]': jour de mars 1607. i i l Vostre bon frere,
dans le conseil de la Reine et fut fait Alphonse de la Croix, évêque de Chalcé- conseiller d`état ordinaire. ll mourulinau doine, qui lui succéda sur le siege de Gre- mois de mai 1619. Depuis l’année 1611 noble. 3VÉlll POU? COBdjUl€UI` SOI] SCCOl'ld. (ils, ' i ‘ Sur ce retour des princes de Savoie, voyez la note sur la lettre suivante.
