_ DE HENRI IU. 123 [1607.] —r 12 mns. ¤I’°. Orig. autographe. — Biblioth. impériale de Saint-Pétersbourg ; Ms. 887-, lettre 27. Copie transmise ` par M. Allier. ` A MONS“ BELLIEVBE. . s r . CCANCELIER QE PIKQNCE. ;J Mons' le .chaneel ier, Je vous ay, plusieurs fois faiot,.enten.dre. nia volonté touchant Yahbaye de Figeac, que _j’ay donnée à.Chamberet, et que, nonobstant les promesses que la dame de Montluc, a, l’aictes de ne la luy troubler poînct, elle luy 1`aict tous lesempesehernens qu’elle peut. C’est pourquoyyvoulant que vous y—mettiés.fin, _ jenvous prie de faire zjuger definitivement le procès qui est pendant enmonconseil pour raison de ce, avec la mesme compagnie. et les mesmesj11ges.qui ‘ ontdonné l’arrest par provi-sion..Sur ce., Dieuvous ayt, Monsïle chancelier, en sa saincte et digne garde. Ce mf mars,.à Chantilly. .`1607 — =2 M» ¤S — Hmî- .; .; . z,, A Onig. autograpbe.—B. I. Fonds Béthune, Ms. 8851, fol. 1/i. 4 —
- A MON COUSIN LE S" DE BOISDACFIN, E l 1 i
MABESCHAL DE FRANCE. A. ' Mon Cousin, Pour response a celle que ce gentilhomme m’a. ap- portée de vostre part, je vous diray que je vous sçais tres bon gré d’en avoir usé comme vous Pavés faict, que davoir t’aict mettre le s' de la Martonye entre les mains des archers du grand prevost et despuis au Fort l’Evesque, et m’avés en cela faict service tres agrea-« ble. J’escris à- M" de Sillery ma volonté touchant ce faict-la et ce. que je .veulx, qui y soit faict. Vous- osterés les gardes que vous aves billées au s".des Barrues, et luy baillerés sa maison pourprison. A Dieu, mon Cousin. Ce x1_]° mars, à Chantilly. . . .. . _ D HENRY. 4 l6 » I
