Seine, ira tenir garnison partie à Barbonne et partie à Sainct-Just. Par tant, incontinant la presente receue, vous la conduirés et depar- P tirés en chemins des dicts lieux ; mais surtout donnés ordre que par chemins et pendant le sejour qu’elle fera en l’un et en l’aultre endroict, elle vive de telle sorte qu’il ne m’en vienne aucune plaincte, et vous me ferés service tres agreable spriant Dieu, Mons’ de la Boullaye, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le xxje jour de febvrier 1607.
[1607.] — 26 FÉVRIER.
Cop. — B. I. Suppl. fr. Ms. lot}9 -1.
[AU DUC DE SULLY.]
1 Mon amy, Suivant ce que je vous manday avant-hier par Lomenie, je vous prie de faire delivrer incontinent a celuy qui vous rendra ce mot la somme de trois cens livres, sans que ersonne sache à qui elle aura esté delivrée, pour les causes que vous sçavés. Ceste—cy n’estant à aultre lin, je prieray Dieu qu’il vous ayt, mon ainsi, en sa saincte et digne garde. Ce xxvf febvrier, a Paris.
[1607] — 28 FEVRIER. — I’°.
Orig. autographe. -- Cabinet de M. le général comte de la Loyère. i
Imprimé. — œconomies royales, t. III, ch. g. A
A MON COUSIN LE DUC DE SULLY.
Mon amy, Tantost parlant à vous j’ay oublié de vous dire comme ces jours passez, durant la foire St Germain, j’ay donné ou joué de la marchandise ’us u’à la somme de trois mille escuz ; et pour ce que les marchands desquels j’ay eu la dicte marchandise me tiennent au
Ce billet était de la main du Roi.
