DE HENRI IV. 91 je prie Dieu, mon Cousin, qu’iI vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le...jour de... 1607. HENRY. ` [1607.] — [viens Les GOMMENCEMENTS DE reverra.] . Cop. -- Archives de M. le marquis de la Grange. l [A UARCHIDUC ALBERT.] Mon Frere, Le s' Pectins, conseiller en vostre grand conseil, que vous aves nagueres envoyé resider vostre ambassadeur pres de moy, m’a rendu vostre lettre du V]l° janvier, et Pay veu tres volontiers, pour la priere que vous m’en aves faicte et pour l’estime que je fais de ` son bon proceder à l'advenir, et qu’iI se conduira, en la charge que i vous luy avés commise, aussy convenablement que le requiert la bonne et parfaicte intelligence qui est entre nous et l’amitié que je vous porte, de la continuation de la uelle `e vous rie faire estat en toute occasion, _ il I _ amsy que vous entendrés plus particulierement du s' de Berny, con- seiller en mon conseil d’Estat, residant pour mes allaires pres de vous., Je prie Dieu, mon Frere, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le ..... ' Vostre bon frere,
` [1607.] —— [1°’ rzâvmns.] — I'? Cop. - Archives de M. _le marquis de la Grange. '• _[A LA SEIGNEURIE DE VENISE.] Tres chers et grands amys, alliez et confederez, Comme] nous avons tousjours grandement estimé la continuation de la bonne et parfaicte amitié ui a de si lon tem s esté conservée ar nous et nos rede- (I S P P cesseurs Roys avec_vostre republique, nous n'avons pas esté moins desireuk de vous en tesmoigner tous bons et utiles ellects, pour Ilallec- tion que nous vous portons et à vostre bien, repos et tranquillité. C’est 1 2
