Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/81

Cette page n’a pas encore été corrigée

i I DE HENRI lv,. V ' h 63 feu s' abbé de Bellebranche, la librairie de la feue Royne, mere du Bo, IDOD Sûl DCU1`1,. CG UC •B VOUS I‘lG Gt COI’l']H'l£lI'ld€ CHCOTBS UI} COU ) i , .l P . de faire, S1 jà ne l’av1és faict, comme estant chose que je desire, af- fectionne et veulx, affin que’rien ne s’en esgare, et que vous la faciés mettre avec la mienne. A Dieu, Mons” le president,. Ce 11ij° novembre a Monceaux., ( . ' « - HENRY. ' ` [ 1598.] — 6 NOVEMBRE., Cop. — B. N. Fonds Du Puy, Ms. 407, fol. 32 recto. j . Imprimé. — OEoonomies royales, t. I, chap. 82. —— Vie militaire etprivéede Henri IV, Paris, 1803. in`-8°, p. 250. j ' " [A M. DE BOSNY.] i ‘ «  —MOH amy`, Ceste-cy SCTZI `lô. FCSPODSG à la VOSl}l`( } _(.lU XX1Xe (IU PHSSC, . (IUC plus tost vous .eussiés BUG SÃHS ID3. TCCIQICUÈC. Je COITlH’lCI`1C€I`3y avant, de vousdire que je me porte un peu mieux, Dieu mercy, mais ‘ Jacques Amyot, maître de Ia librairie que Bcncivenil, le représentait, en 1599, du Roi, étant mort en 1593, I lenri, lV lui lorsque le Parlement rendit deux arrêts, avait donné pour successeur M. de Thou. l'un du 25 janvier, l’autre du 30 avril, lui La réunion des livres de Catherine de Mé- ordonnant de remettre à Denis de Hère, dicis à ceux du Roi fut la première affaire conseiller au Parlement, commis à l’exé— ' dont s’occupa de Thou dans ses nouvelles cution de ees deux arrêts, les livres en fonctions. Depuis la mort de cette prin- question. Ce commissaire les lit transpor cesse, ses livres etaient restés en dépôt ter au college de Clermont, ou se trouÀ chez Jean-Baptiste Benciveni, abbé de vaient alors les livres du Boi, et où Jean . Bellebranche, son premier aumônier et Gosselin, commis à leur garde, reçut et ` garde de sa librairie. Des lettres patentes colloqua ceux de Catherine de Médicis. du 15 juin I59lt ordonnerent En l’abbé de C'etaientdes manuscrits fortprécieux, dont Bellebranche de remettre ces livres à .lac— cette princesse s`était emparée à la mort ques-Auguste de Thou. Mais les créanciers de son parent le maréchal de Strozzi, qui de la feue rcine—mère Iormèrent, 0pposi les tenait du cardinal Bidolfi, neveu du tion. Tous les meubles de cette princesse pape Léon X. ' avaientété mis sous les scellés. On procéda Ces manuscrits font aujourdhui partie à une estimation, suivie diautres formali— de l’ancien fonds du Roi à la Bibliothèque. tés, pendant lesquelles mourut l’abbé de De îIliou en lit relier trois cent cinquante ' Bellebranche. Son neveu, Pierre-Dominil auifiarines et au chiffre de Henri IV.