- [ 1598. —— veus LA MIQOGTOBBE.] 7+ I". .
Minute. — B. N. Fonds Du Pny, Ms. (107, lol. 5x verso.
i [A M. DE FONTBAILHAS.] i
M" de Fontraillias, Tai seu la diluculté que l’on faict à ce qui est
de ma volonté touchant'l’erection du siege presidial de Lectoure. J’en
escris à -ceste lin à m' le chancelier et au s' de Rosny. Je `mlasseure
qu’ils n’en feront plus et queje seray obey de ce costé-là. AuSSy'
vous debvés "re oser sur mo, ue- uis ue 'e le vous a Jromis, cela
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sera. .lc leur mande de tenir cest ailaire secret, et qu°1l n’y ayt que
eulx et le secretaire qui le depescliera qui le saiche, allin d’en faire
perdre la cognoissance à ma soeur. Et vous, il vous faudra prendre
garde, ayant l’edict par devers vous, d’en poursuivre la veriflication
avant u’e’lle soit en Lorraine. nant vous aurés faict ar delà vos
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all’a1res et que vous serés prés de vous en retourner au pays, vous me
pourrés venir_voir `icy pour prendre congé de moy. Asseurés¥vous
tousjours que vous serés le bien venu et —veu de moy, qui vous ayme.
_ A Dieu, Mons' de F ontrailhas, lequel je prie vous avoiren sa garde.
° i i . i i B HENRY. -
[ 1598..- visas LA M1-ocroBnE..]_— I['°°'.- _
Minute. — B. N. Fonds Du Puy, Ms. Z107, fol. 32 verso.
' [ . Cop. — Suppl. Fr. Ms. 109-3. `
) .' ' A MONS?` DE VILLEROY.
Mons" de Villeroy, Ceste—cy sera la response aux deux vostres, des
XXV1llJe et xx1x° du passé, que plus tost vous eussiés eue sans la re-
cheute de ma maladie, qui m’a rendu si chagrin que despuis ce
temps —là je n’ay faict que songer à ma santé, sans voulloir ouyr par-
ler d'aH’aires. J’ay veu celle de mr de Luxembourg, à laquelle j’estime
qu’il ne fauldra faire response, puisqu’il est par les chemins. Et pour
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LETTRES MISSIVES