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\ _[1598.]— 9 Avait. Orîg. autographe. — Fonds de M. Lefèvre, libraire à Paris. Communication de M. Monmerqué. A MONS' MABYON. Mons' Maryon, Ce mot est pour vous dire que vous me lerés service tres agreable de tenir la main que`[l’on verifiell les lettres de declaration ue "a fait ex edier à ma court de arlement, sur (l J Y P P le brevet ue 'e feis ex edier le dernier de anvier, ortant ue (l J P J P (I ceux qui seront faits maistres des arts et mest1ers prendront lettres de maistrise scellées, comme estant un droit des plus anciens de ' ceste Couronne. Faites donc tout debvoir à ce que les dictes lettres soient verifiées, comme chose que je veux et dont je m’asseure que vous jugés assez la consequence : et me promettant cela de vostre alïection, je ne vous en diray davantage, pour prier Dieu vous avoir, Mons"'Ma on, en sa arde. Ce IXm° avril, à An ers. ry È HENRY. _ . 1598. y-5 15 avan,. J Orig. -- B. N. Fonds Béthune, Ms. 9037, fol. 82. i - Cop. ~— SuppI. fr.Ms. 1009-?. [AU coN1vÉTÀBi.E.] ' Mon Cousin, Estant arrivé hier en ceste ville, je vous en ay voulu donner advis, rnlasseurant que vous participerés au contentement que j’en retire. Je fais estat d’y sejourner peu de jours, et aussy tost que fauray donné ordre aux allaires de ceste province qui sont les plus im ortantes et ressées, `e artira our m’en aller en Picardie ; à P J P Y P quoy Je me resoulds encores dadvantage, ayant veu la depesche que le s' du Belloy m’a apportée. J’ay remis à vous faire response sur les ‘ Il est nécessaire de suppléer quelque chose à cette phrase pour en compléter le- sens, qui sans cela reste suspendu. .
