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_ I DE HENRI IV. 925 aultre?’deI5esche~ de- laquelle le ~s’ duBe}1oy'?e‘st‘èharg‘ë;*ies c6nditi6ns advantagëüses queja luy ay’accordé`es.‘*À quoy n’ay regretj‘iIiüisqî1e par ce' moyen t0'ute? ma?Provincèide'Bretaigne est rediiicte‘ enmon obeissanceàll ne reste que? Blavet ; lequel- j’ay‘1 esé>lu’ d’allér assieger incontinent aprés que j’auray-'faict mam ent1*ée` en nufvilleîdë Nantes, qui sera aprés. la verification de mon dict edict en mes parlemens de Paris et de Bennes. Je desire avoir bien tost pourveu aux allaires de mon pays de Bretaigne, pour m'en aller en Picardie, où je vous prie, mon Cousin, pourveoir ce pendant à tout ce~qui est à faire pour la seureté et conservation de mes villes, et me donner souvent advis _ des occurrences de delà: priantDieu, sur ce, mon Cousin, vous avoir en sa saincte garde. Èscript à Angers, ce xx° jour de mars 1598. Q E É HENRY. I rornm. [1598. ] —— 21 MÀBÉi :—j- Fa. L I U Ofig. autographe ;-— B. N. Fonds Béthune, Ms. 0008, fol. I.', V Cop. — Suppl. fr. Ms ; 1000-24 ' _ A MON COMPERE LE CONNESTÀBLÉÉDE FRANCE. A Mon compere, Je vous envoye lé”Mytaut` et` les articles du tràicté general que j’ay’~l’aict avec 'mon cousin le duc de ‘Mercur.' Il vous dirade mes nouvelles, et comme j’ay’traictë auss§? du’ mariage de sa lille avec Cesar, qui estoit si avantag‘ëux ‘ pour' luy`, qu e le refuser c’eust esté luy faire 'tin extiesine tort ;' et je`; m’ass'eure :qî1e"*l’airnant comme vous-l’ai ctesï, si*vous‘ eussiés esté‘prés‘de' mov, vous mé l’eus— siésconseillé, `co‘mine' bnt taict tous ceulk qui estoient. Voussçavés que c’est` lé `naturel d’un pere de procurer"le‘Bien’deses enfans ; vous l’estes, et je m’asseu1 e que vous avouerés que je ne pouvois mi€1JlX‘ faire pour’lüy,"comme estant le plusl‘Qrand'inàî iage jquîsoit en mon Royaiilmelf. Toutesl`0is, les chosesnien ‘SsIIm11sm€aI‘raIc¢€, S ‘ Francoise de Lorraineétaît filleunîque Lorraine,' duc de ii/Iercceur, et de Marielle et héritière de PhilippelEmman'nel ‘de "L‘uxembourg, duchesse d`Éta1npcs"et’diî