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LETTRES MISSIVES

re rendre creance en An leterre et Hollande `us ues à ce e `e sois P S J ll qu .l asseuré de la restitution de mes places. .l’en ay adverty le s' legat par le s' de Sillery, president au Parlement, lequel j’ay depesché vers lu avec char e d` resider, our voir si on vouldra accorder la dicte Y g Y P restitution. J'ay aussy depesché en Angleterre le s' de Maisse pour rabattre les artifices de mes ennem s et m’ac uitter envers la R0 ne Y ll Y de la promesse que je luy ay f&1Ct8 par nostre dernier tra1cté d’3.l.l1&DC8, et la persuader, s’il est possible, dlentendre à la dicte paix pour nous y porter tous ensemble. J'ay faict pareille depesche en—Hollande ; ils me feront sçavoir leurs deliberations par depputez. La faulte de l’El1‘Cl1idU.C Maximilien est d’avoir si mal em love ceste P J année llarmée des chretiens, qui a tenu la campagne long-temps sans rien entrep1 endre et s’est retiré honteusexnent devant Javarin, au bruict de Papprochement de Mehemet-Bassa, assisté de forces ramas- sées et pleines d’ell’roi ; et tant que l’Empereur se tiendra caché et que ses freres les lieutenans vivront à llespagnole, sans se monstrer ny mettre eux—mesmes la main à la besogne, les chretiens seront tous- jours battus. 1.597. — 5 DÉCEMBRE. Orig. autographe. - B. N. Fonds Béthune, Ms. 90l5, fol. 8x. ‘ Cop. — Suppl. fr. Ms. l(l09-3. _ A MON NEPVEU LE DUC DE NIVEBNOIS ET DE RETHELOIS. vim on muscu, couvumvnun nr Mou txnucrmmtm amusait EN cmnmcun nm ;. Mon Nepveu, .l’ay commencé à voir l’estat des garnisons, ayant resolu de le regler promptement, selon que je jugeray estre à propos pour la seureté des places de frontiere et le bien de mon service. .l’ay differé de toucher à ce qui est de Vûstre gouvernement jusques a ce • que vous soyés prés de moy, desirant avoir sur ce vostre advis, avant que dly prendre resolution. Partés donc, je vous prie, pour me venir trouver, incontinent qu’aurés receu la presente, et vous rendés demain,