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DE HENRI IV. 857 luy portons, nous donne occasion d’avoir partà tous ses bons et favo~ rables succés, ayant entendu qu’Elle s’en retourne à Constantinople comblée d’honneur et de contentement, nous_n’avons voulu tarder_ plus longuementià nous conjouir avec Elle, comme nous faisons, de son heureux retour et des prosperitez qui luy sont arrivées en son voyage ; vous asseurant que nous en avons receu beaucoup de 'con— tentement, comme nous faisons tousjours de Tadvancement de vos afiaires et accomplissement de vostre reputation, croyant aussy que de vostre part vous correspondrés avec pareille sincerité à nos bonnes et droictes intentions, ainsy que le s” de Breves, gentilhomme ordi- ` naire de ‘nostre chambre, nostre ambassadeur residant à la Porte de Vostre Haultesse, luy tera plus amplement entendre ; sur quoy la prions luy adjouster, pareille foy et creance que à nous—mesmes : à tant, prionsDieu, Tres hault, tres excellent et tres puissant prince, nostre tres cher et parfaict amy., qu'il vous ayt en sa tres saincte et l digne garde. Escript à Paris, le dernier jourde septembre 1.597. _ i HENRY. A [ 1597.- visas LA rm nn SEPTEMBRE.] Imprimé, — (Economies royales, t._I, p. ltzâ, [A M. DE BOSNY.] Mon amy, Puisque vous pensés continuellement à laire subsister mon armée sur pied, et à _plusieurs aultres miennes aflaires en mon absence, il est bien raisonnable que j’aye quelque soin des vostres lors- que vous estes absent de moy. Ceste lettre donc est pour vous dire , que sur la mort de vostre second frerel (que je ne doubte point que vous n’ayés sceu par une aultre voie) plusieurs me sont venu demander le gouvernement de Mante, et vostre jeune frere 2 plus instamment I ‘ Salomon de Béthune, gouverneur de ’ Philippe de Béthune, dernier fils de ‘ Mantes, gentilhomme de la chambre du François de Béthune et de Charlotte Dau- ' Bol, était mort le 29 septembre, à Beau- vet, baron de Selles, seigneur de Font- ' vais, en revenant du siege d’Amîens. mo1-eau, etc., devint, en 1621, comte de rrrrnns na tnzmn 1v. -tv. 108