Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/836

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, DE I*lE'NPt’I IV. 815 qlllll VOUS ayt GI} Sêl g3I’d€. All Cümpi d€V&I1ll AHIICHS, CB XXWI]°'jlIlllGlC 1597. p . HENRY, ` La necessite des soldats est telle que j’av resolu leur monstre au enu iesme ou e ier e e m i .- ’ar ent de la dicte lt drn dc os llfaut uel monstre "soit à Compiegne au mesme jour. Donnés ordre qu’il y soit €I1VOyé. toute la SOHIITIG l'll€Sll 8.SS€Hll)lé€, `qll€ l, OI1 CIlVOyC CC q1l,0I1 POUITR par la premiere voiture et dans le dict jour, et le Peste à, me— sure qu’il se recevra ; mais il n’y faut manquer, car de là despend la ruine 01.1 la Couservatioll de moI1 armée. _ 1597.]- 28 Juittur. s i Cop. — B. N. Suppl ; fr. Ms. 1009-1. _ Imprimé. - Cdlconomies royales, édit. orig. t. I, p- lt25. ` [A M. DE BQSNY.] ‘ B ‘Mon amy, Un homme de bien comme vous n’a que sa parole ; c’est pourquoy m’estant lié sur celle que vous m’av_és donnée, de faire ’ Cette lettre étaitde la maindu Bol. ll ordonnez, d'autant que ce qui restoit à est néçessairer pour en 'laire bien com- recevoir ’iï'estoit plus que"restes et fon _ prendre l’intérêt, de citer ce que les secre— drilles incertaines, dont =il ne se sgauroit ‘ taires de Sully rappellentdes circonstances que bien peu tirer, et encores avec grande dans lesquelles -elle-futecrite. «...Allastes longueur de temps : et partant le sup~ faire un tour à Mante prendre possession plioient-ils demander sa volonté sur les du gouvernement. Pendant vostre séjour, nouveaux moyens dont lfoxi auroit à se qui ne fut que de quatre jours, ceux du servir pour 1éontinuer' à fournir comme conseil, qui Vestimoient devoir être plus l'on a_voit faitjusques à‘present ; de quoi long, prirentcetemps pourfaire une lettre encore =n’esoient-ils luy donner' aucune au Roy, sign‘ée'd'eux tous, par laquelle assurance, mais-bien qu’ils y feroient tout ils luy mandoient en substance. qu'ils leur possible. A ' avoient si bien travaillé depuis cinq‘moi’sQ « Le 'Boy ayant receu ceste lettrel U6 que son armée n’avoit *manqué d’a1 gent s'arresta pas du commencement àregarder ` n ‘d'autres`éhoses ; 1i’ils ’feroient‘encore la souscri tion, en la uelle il avoit huict Y . (I P (I .7 tout leur possible pour faire fournir un ou dix seings, et croyant que le vostre y mois de plus ; mais qu’ap1 és- cèlaiil'fîlen 'feust, il se mit à vous decbiquetter un peu _ falloivplusï esperer *des ~moyens qu’il avoit tous l’un apréslautre, et vous plus que