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DE HENRI IV. 787 Cousine, qu’il vous ayt en sa tres saincte garde. Escript à Paris le . . . i jour dejuin 1 5g7. _~ " _ ._ Vostre bon frere et cousin, ., . — _` HENRY. A 1597.—[2o] Jun :. l i Orig. — A Londres, Biblioth. de Larnbeth, Ms. 942, pièce 8. Transcription de M. Delpit. [A M. BACON.] i Mons" de Bacons, .I’ay donné charge au s' des Reaux vous veoir de ma part, vous asseurer de ma bonne volonté et vous dire le regret que _j’ay de quoy je ne vois les afïaires entre la Royne, vostre souve- raine, et moy en meilleure intelligence pour son bien et pour le mien, dont je me prends plus à ma mauvaise fortune que à elle—mesme, ` vous priant faire ce que vous pourrés pour y apporter quelque re- mede. Je remets le reste sur luy, et prie Dieu, Mons' de Bacons, qu’il ` vous ayt en sa saincte garde. Escript à Paris le . . . jour de juin 1597 . . HENRY. _ ma maurvirrn. ' 1597.- 2l Juin.—I'°. Imprimé. — Joannis Calvini, Theod. Bezœ, Henrici IV regis, aliorizmquc illius œiai hominum liucra : quœdam nondum edilœ. Edidit Gottl.'BnnTsouNn1oBn ; Lipsiœ, 1835, in-8°, p. 183. [A M. DE BEZE.] i I V I Mons‘° de Besze, Puisque les seigneurs de Geneve ont esté con- traincts de prolonger la trefve avec le duc de Savoye jusquesfà la En ' du. mois de septembre pour leur bien et conservation, je suis content prendre en bonne part ce qu’ils en ont faict ; car je n'ay embrassé leur _ amitié et la protection de leur liberté pour en tirer commodité a leur dommage. Il est vray que par raison ils devoient m’en advertir, suivant nos traictez, ainsy que je leur escris,‘les asseurant de la continuation 99-