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DE I ]ENBl IV.` 761 je prie Dieu`, mon` Cousin, vous avoir en’sa saincte garde. De S‘ÃGer— main, ce Vlljc may 1597. HENRY. _ i - l roncnr. . . - . 1597. — 8 MM. — II". I Cop. — Bibliothèque de M ; Monmerqué, Ms. intitulé Lettres à Fambassadeur du Levant. ` Cop. —B. N. Fonds Béthune, Ms. 8955, fol. IOS recto. ( " E [A M. DE BREVES.] Mons' de Breves, 'Vos depesches des XllII° et XXVlII’j€lI1Vl€I`, xu et XXlIl° de febvrier, et premier de mars, auxquelles j’ay à respondre par ceste- cy, font particulierement mention, aprés les advis que vous me donnés des occurences de delà, des diflicultez qui se sont rencontrées à vaincre et surmonter Finstance qui a esté faicte par l'agent d’Angleterre, qu’au renouvellement des capitulations il fust inseré que les nations estran- geres n’eussent plus à 'recognoistre la baniere de France : en quoy vous vous estes non-seulement conduict selon mon intention, mais m’avés faict service tres agreable, d’avoir opposé la verité. des choses aux faulses propositions que le dict agent a «m'ises en avant pour au- toriser sa poursuite : que je n'avois rien d’acquis de ce Royaume que I ce que la Royne d’Angleterre m’avoit facilité avec la resistance de ses armes. Car tant s°èn fault que cela soit (comme je m’asseure aussy — qu’elle ne vouldroit pas advouer le dict agent en ce propos) qu'au con- traire la correspondance que jlay eue avec elle, pour estre de difTe— rente religion, a biensouvent traversé et faict prejudice à mes aH’aires ; ce que je vousfdis, aflin que vous saichés les impostures de ce mi- nistre, et non poinct en publier aulcune chose par delà. .l’ay esté aussy tres aise que vous avés gagné ce poinct sur Topiniastreté du grand chancelier et du premier secretaire d’Etat de ce Seigneur que ce que _ I vous avés desiré estre adjousté aux dictes capitulations y ait esté in- seré, car je sçay qu’en ceste Porte l’avarice et la corruption emportent ‘ bien sou-vent la raison. Et par ce que les principaubc chefs de vos dictes — LETTRES DE HENRI IV, — IV. `