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A DE HENRI IV. 751 A - [1597.]-- 25 AVBIL.—I"€. t . I 'Orig. —— Archives de M. de Lubersac. _ A MONSB DE LUBERSAC. ' Mons" de Lubersac, Àyant donné le pouvoir dugouvernement de ' mon pays de Limosin à mon cousin le duc d’Espernon, et le faisant presentement partir d’auprés de moy pour en aller prendre posses- sion, fay pensé l’aire‘une depesche aux plus apparens de ma noblesse du dict pays pour leur recommander de le recevoir et recognoistre en la "dicte charge ; et vous tenant de ce nombre, je niay pas voulu, oublier de vous en escrire particulierement et vous prier de Yassister de tout vostre pouvoir, tant au iaict de son establissement au dict gou- vernement que en toutes les aultres occasions qui s’oH`1 iront par delà pour mon service, vous asseurant que je vous en sçauray tres bon gré, _et le tiendray pour une des meilleures preuves que vous me sçauriés rendre de vostre devotion à mon dict service. Sur ce, jeprie Dieu`, Mons' de Lubersac, vous avoir en sa saincte garde. 'Escript à .`Paris, ce xxv°'_jour d'apvril 1597. ’ _i ` ‘ HENRY. ~ . _i — 1[1597.]—— 25 Avait,. — II"". I Imprimé. — .Hi.swi : e`çlu cardinal de Jqycusc, par Amman Paris, i65l ;, in-!t°, pa 2:75, _ ' [AU DUC DE `PINEY LUXEMBOURG, \, mnsssannun A noms.] (Extrait.) i » ..... I1 semble que mes voisins desquels je me sui_s tousjours promis plus d’assistance ne soient marrys de ma peine, esperant peutg estre profiter de ma necessite, et principalement la royne d’Angleterre, laquelle veult maintenant à_ luy quitter Calais, le reprenant, devant ` que de me secourir davantage I. Mos subjects de la nouvelle religion _ On voit quelle ténacité Éiggnjaii mettait à cette idée ; même après les refus sifor- mais de Vannée précédente. .