DE HENRLIV, 7Z13. priant Dieu,.1non Cousin, qu’il. vous ayt en sa tres saincte etidigne garde. Escriptà Paris, l€-XVIIJE jour d'apvril 1597. ` ' i HENRY. nn Neurvittis. _ P 1597.- 18 Av1u1,.—lV“‘°. .
- Orig. autographe. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9083, fol. s. ‘
I Cop. — B. N. Fonds Fontanieu, Ms. P. 73, fol. 66 recto,. . A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRANCE. ' MOHiColilPG1`€, VOUS verres par celle que mon cousin le comte de - S‘—Paul m’escrit par son lieutenant, laquelle il vous porte avec celle-cy, comme un ehacunse veult servir de la perte d'Amiens. Pour ce que ce seroit trop de perte que sa compagnie se rompist, d'autant qu’elle est tres belle et bonne, je vous prie de faire prendre ce tresorier pri- sonnie1, et luy faire faire justice ; mais je vous en prie, mon compere, et d’afl’ectionner cest a[l’aire autant que je l’ail’ectionne. Bon soir. Ce xvuf avril au soir. _ HENRY. P :1597.- 19 Avait., ~ ‘ _ _ Cop. — Fonds du Puy, Ms. 407, fol. 22 recto, et Ms. 88, foi. 313 recto. Imprimé. — Journal militaire de Henri IV, publié par le comte ne VALOBY.- 182l, in-8°, p. 200. CE QUE LE ROY A Dl'l` A MESS" DU PARLEMENT. LE 13° AVRIL 1597, _ A PARIS'. W Mess'ë, Ce 11`est pas seulement le soing de pourveoir à ma santé qui m’a î`aict revenir de la- frontiere de Picardie, mais bien pour ex- citer un chacun depenser aux neoessitez qui paroissent ; estimant que nul ne. pouvoit 11_y ;mieux ny avec plus de force representer le mal i et procurer les remedes. Vousavés, par vostre pieté, secouru, l’année ' Ce titre est de la main de Henri IV, dans le Ms. lio7.
