p . DE HENRI IV. 7lil i soit bien assigné de ce qui luy fut par moy promis pour un si signalé service. Je ne le vous veux recommander communement, comime son affection à mon service n’estant nullement commune. Bonsoir, mon compere. Ce xv1_]°—avril, à Sainct—Germain. `
[1597.]— 18 AVRIL. —I’°. Qrig. autographe. t- B. N. Fonds Béthune, Ms. 9050, fol. r. ° Cop. —— Suppl. Fr. Ms. 1009-2. . i A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRÀNCE. - Mon compere, illescris au s' de Villeroy, pour vous representer comme dés il y a plus d'un an j’ay accordé à de Louans, secretaire de ma chambre, un estat de contreroleur ordinaire de mes guerres, en recompense du service qu’il me faict pres et soubs le s' de Gesvres ; auquel estat il a esté receu, et iceluy exercéen mon armée sans aulcun empeschement, sinon despuis un mois que, par arrest donné en mon conseil', le dict de Louans est frustré de ma grace ; et parce que ma Q volonté est que. le don que je luy ay faict ne luy demeure inutile, je vous prie, mon compere, adviser le moyen qulil y aura de contenter la veufve du defunct, laquelle trouble le dict de Louans, trouvant bon pour cest ellect que celuy nommé par la dicte veufve et le dict de Louans demeurent tous deux pourveus ; la charge de suppression, vacquation advenant. Sur ce, Dieuvous ayt, mon compere, en sa garde. Ce XVII]': avril, à Sainct—Germain. . i . I e HENRY. [1597.] — 18 Aven., — II“‘°. ' Orig. autographe. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9067 . fol'. 8. Cop. — Suppl. f’r.•Ms. 1009-2. A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRANCE. . ' Mon compere, Je vois que les allaires tirent en telle longueur, mesmes pour le faict de m" de Lesdiguieres et aultres, auxquels l'on
