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DE IHENBI "IV. i 713 ceulgc de mon dict conseil. Je le vous recommande doncques, car c’est chose que _j'ay_tres à cœur : et prie Dieu, _' mon Cousin, qu'il vous ayt en sa tres—saincte et digne garde. Escript à Mondidier, le XIXG jour de mars 1597. . /, HENRY. y ' - on zmurvirnn. _ I 1597.-19 M».ns.—Vm°. W ", Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9044, Fol. Ag. q, Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-2. U [AU CONNÉTABLE.] Mon Cousin, J’ay jugé estre à propos pour mon service d’envoye1 en Auvergne et en Rouergue le s' de Bocquelaure, pour prendre pos- session de la charge que je luy ay donnée aux dicts pays et me faire service en plusieurs occasions qui s’y ollrent, où je sçay que sa pre- sence me sera tres-utile et aux dicts pays. Au moyen de quoy, je vous prie de commander aux s"’ de—Cesvres et de Fresnes luy bailler les depeschesnecessaires.pour faire cevoyage, et qu’elles soyent prompte- ` ment et favorablement expediées, aflin qu'il parte tant plus tost et qu’il me serve aussy plus utilement, carje desire qu'il me revienne trouver dedans le moisïde juillet avec sa compaignie de gens d’armes, au payement de laquelle je vous prie aussy vous souvenir de faire pour- veoir, m'asseurant qu’il la me amenera bonne. J’escris au s' de Fresnes qu’il luy baille la commission pour faire assembler les estats de Rouergue en la ville de Pnhodez, encores° qu’ils ayent acoustumé. d’estre tenus à Villefranche qui est ville royale, au lieu que l’autre est episcopale. Mais il n’est raisonnable les convocquer au dict Ville- franche, que les habitans ne soient purgez de la mort de Sanneusan, ' et que semble que peu aprés celle-cy il sera plus à propos pour mon q service de les tenir en l’aultre qu'ailleurs, poury faire tousjours reco- gnoistre davantage 'mon auctorité et afiermir les habitans en leur debvoir. Doncques commandés-en les depesches necessaires. Faictes aussy ouïr les depputez du hault pays d’Auvergne, qui sont à la suite mzmuas ma mmm xv.--xv. i gc