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DE HENRI IV. 691 desordres, desquels _je_vous ay bien voulu declarer par la presente que je vous tiendray excuse, si promptement et cy—aprés vous me faictes cognoistre par efiect combien soigneusement vous embrassés Pexecution de mon commandement, principalement et sur toutes q choses en ce 'qui concerne la conservationdes dicts ecclesiastiques et de ceux qui leur appartiennent. A quoy voulant me promettre que ne ferés faulte, je Aprieray Dieu qu’il vous ayt, Mons' de Boncourt, en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le xv° jour de febvrier 1597. i, `— HENRY. i I D roman. l 1597. - 1 6 FÉVRIER. —I". ' i Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 90(Llf, fol. 15 recto. I ' . ~ Cop. —Suppl. fr. Ms. 1009-2Ã> . — [AU CONNÉTABLE.], Mon Cousin, _ Je m’attendois que vous series aujourd’l1uy icy ; mais puisque cela ne peut estre, je vous prie que ce soit pour demain. J’ay icy le president Calignon, de retour du voyage qu’il avoit Faict à Vendosme, avec le s' de Vic ; et n1’a ra orté la res onse u’ils ont (I PP P CI eue des depputez de llassemblée qui est au dict Vendosme, par la- quelle je vois qu’ils nese contentent pas de celle que nous leur avions ' faicte. Ceste aflaire merite estre —resolue rom tement ; c’est une des . P P principales causes que_'j’ay de vous prier d’advancer vostre retour. Il y en a aussy d’autres qui ne pressent gueres moins, auxquelles e fais bien estat de vacquer et de ne m'en distraire pas pour ces jours de de- bauche. Sur ce, je prie Dieu, mon Cousin, vous conserver en sa saincte V garde. Escript à Paris, ce xv_]° fevrier 1597. - P HENRY. . _ Foiiosr.