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` DE HENRI IV._ 685 comme nous nous asseurons que vousl’erés, _ vous estans maintenant pourvus de la dicte traicte de bleds. Cest pourquoy nous ne vous en dirons pas davantage que pour vous recommander tousjours ce qui ‘ est de vostre debvoir, et de veiller soigneusement a vostre conserva- ' tion, et à_vous maintenir en repos et tranquillité : à quoy nous aide- À rons de nostre part autant que nous pourrons. Donne à Bouensce Illico febvrier 1597. ` ' ° HENRY. _ ' A roncm : q 1597. — [1 FÉVME11. — Il'?". _ i Cop. —— Bibliothèque de l’Arsenal, Hist. litt. n° 677, Mss. de Conrart, vol. 5, p. 165. _ -_ ~ A MONS5 DE LIBEBTAT, . . VIGUIER DE MA VILLE DE MARSEILLE. I Mons"—de Libertat, Henvoyant ce porteur vers mon nepveu le duc . de Guise, je n’ay pas voulu que ç’aye esté sans vous donner de mes nouvelles, et vous dire le grand contentement que j’ay_ eu de la.p1 ise_ qui a esté faicte de par delà, et particulierement de ce qu’elle vous a _ donné commodité d’armer la chiourme des deux galeres qui sont au port, lesquelles vous ine ferés service bien agreable d’achever d'equi- per le plus tost que vous pourrés, et les mettre en estat de servir_ ` J'ay resolu l’estat de mes_ galeres, ou elles sont employées, et dans peu de jours je resouldray celuy de 1nes finances de ceste année, ou ` je feray reserver le fonds de l’entretenement de douzeigaleres pour ` le moins ; de sorte que vous pouvés estre asseuré que les vostres seront U bien payées et entretenues. lay entendu au reste avec desplaisir que l'on ayt arresté a Marseille les b_lez que mon cousin le grand d11c fai- _ .soit transporter en vertu de mon passeport. Tenvoye une commission à mon cousin le duc de Guise et au s" du Vair, pour en laire la main- U levée ; à quoyje vous prie, de vostre part, tenir la main pour pour- — veoir aussy ala necessite des blez que je vois que vous apprehendés. Pour le reste de ceste année, _j’en ay accordé une traicte de douze mil '