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l DE HENRI IV. _, 655 sion à laquelle toutes les autres doivent obeissance. Le pauvre des Beaux en est atteint, et a passé la mer (forcé de son allection à mon service accom a é d’icelle ; et comme de sa nature elle s’au eme P gn gm ar l’6SlOl nement, "a voulu avoir itié de sa eine et lu accorder P g .l Y \ P P . Y _ six semaines ou deux mois de temps pour en sort1r : mais c’est à la charge que vous l’ayés agreable. _Il vous presentera doncques sa re- ' queste, sur laquelle vous ordonners ce qu’il vous plaira, car je le vous renvoye'pour en disposer, comme je vous supplie de croire que vous ferés eternellement de toutes les volontez de 1 . Vostre plus affectionne frere et serviteur ; W HENRY. Ce xxvf octobre, à Rouen. - ‘ [1596.] — 28 ocromuz. ` Orig. autographe. — Papiers de M. ie major Mang, de Phalsbourg. A MONS“ DE SCHOMBERG. Mons' de Schomberg, J’ay sceu que vous vouliés vendre vostre maison de Paris ; et pour ce qu’estant proche du Louvre comme elle est, elle seroit fort propre à ma maistresse, qui en cherche une à achepter, _j’ay pensé que vous series aussy ayse de la luy vendre qu’à un aultre. C’est pourquoy je vous prie de me mander S1 vous estes en ceste volonté, et combien vous la voulés vendre au dernier mot : c’est là le subject de la mienne, laquelle je finiray pour prier Dieu vous . avoir, Mons' de Schomberg, en sa garde. Ce` XXVIIJE octobre, à Rouen. _ ” 1 i HENRY. L . 1596.;- 31 ocronnn. L ' Orig.` - Archives des Médicis, légation française, liasse 3. — Envoi de M. le ministre de France , à Florence. _ A MON COUSIN LE GRAND DUC DE TOSCANE. P Mon Cousin, Le desir des jeunes qui veulent visiter les pays cstran- gers pour se rendre capables de servir à leur patrie est si louable, que _