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DE HENRI IV.,559 produict les effects qui ne vous sont moins necessaires que _a nous, comme nous avons protesté au dict secr_etaire.Edmond, luy confiant la .presente, .à laquelle nous ne_ pouvons rien adjouxterque nos cordialles et affectionnées reccommandations : et sur ce nous prions.Dieu, Tres — haulte, tres excellente et tres puissante princesse, nostre tres chere et tres améc bonne sœur et .cousine, qu’il vousconserve en sa saincte et digne garde. Escript au camp devant la Fere, le vif jour dlavril i5g6. i Vostrebon frere et cousin, ` HENRY. A [1596.] —— [ 7 Av1u1..]—Il"‘°. .i _ e Cop. — A Londres, State paper office, ancient royal letters. Transcription de M. Lenglet. ’ [A LA REINE UANGLETERRE.] [ Madame, llfaut que je vous tesmoigne encores de ma main l’ex— tresme regret que j’ay de la perte que nous avons faicte du s' Unthon, lequel en verité vous` estoit tres lidelle et tres passionné serviteur. ll aimoit aussy Yhonneur, et m’estoit sa façon de proceder tres agreable. Il faut que je vous diseaussy, Madame, que Edmonds vous a tres bien A servye par deçà; il est tres diligent et capable, de sorte qu’il merite d’estre employé et recogneu de vous pour tres loyal serviteur. Je le vous recommande de tout mon cœur, qui estplus vostre que mien. Il vous dira en quels termes il me laisse, attendant le cardinal, qui, _je crois, avoit choisy ceste— sain cte sepmaine pour nousvenir voir, expres pour nous confesser etahsouldre de tous nos peschez ; car-il est plus propre à.cela¢quezà :nous faire fuir. Toutesfois s’il ne se presente bien instruict, [espere Qluy faire chanter l’evangile devant‘-l’epistre, quoy qulil ayt...le ne puis gpasl estre triste, quandsfoys direlque liennemy vient, eStantiassemé.de vos bonnesagraoesxcomme je llay esté parce pauvre _gentilhomme.(~qui. est morl2), t l orsque jevfus lelvoir estant.à.l’ex— U ‘ La copie de Londres porte : J e ne puis qzfestre triste... » Ce qui n’ofl’re pas un sens suivi avec le restesdellarpliraes. _