0 - "ÉÉÃDE HENRI iI’V.ii_,} SH3 , _= ;.‘ U i ; ;_ lâ _; "¤,. . ‘ 1596:.- 2li MAnS.,, iii" Nong.;s.`1i.F$aa§seimme, `MS.<.wr>A, r« i. 16. —! î`t l i ~i '~ — - É i cop.- s¤Pp1.rr. Ms.` 1009 2.‘.. c- - . -1. . . . .; ._ ._ . È P Ã -[iAl}-CCN_NÉTAÈLEi_]` .i`î`__ `- l " * lMon° Cousin, madame de Monceauzü envoye à Paris Valon, present ` porteur, pour luy apporter pour vingt-cinq ou trente mil escuz de ` bagues 2. Et parce que je desire 'qu’il passe seurement, je vousprie luyl fairedonner telle esco1 te“qui luy sera necessaire ai m_e_ mander par luyde vos nouvelles : priant Dieu vous avoir, mon Cousin, en sa ' sainctegarde. Escriptà Verneuil, ce XXlll_]e jour de m3I’S 1596 _i
- g 'HENRY ;' `—`'
l _- À i DEONBUFVI-LLE. — 1596. —l— êôfmans ; -1**. . .. ‘_ i " l (big. # B._R. Suppl. fr. Ms. 1953-7, Fol. 11/;. - ` . 1), __ A __ .,, (AU CONNÉTABLE.] . Q. 'ï Mon Cousin, Les forces_deimes ennemys sont ensemble et marchent en corps d’armée, et sont maintenant entre Valencienne etle Ques- —noy. Le _s' de Bosne partit avant—hyer < de Bruxelles, vint coucher à ‘ '?Montz, hyer ai Valencienne, ou Ptossieuni s’est trouvé pour adviserau A —I’aict des vivres. Ledict s" de Bosne se rendra dans deux jours à Cam- bray ; Yarmée s’y achemine, les lansq1Ien'etz nouveaux y sont joincts avec les garnisons qui ont 'ésté tiréesde touteslesavilles. Le cardinal doit . partir le dernier de ce mois, et se rendrele 111—1°.du prochain à Cam- bra, resolu de venir droict au secours des îassie cz, sans avoir aultre _ Y È dessemg. Cest advis estcertain, et nia esté. envoyé de si bonne part. que je n’en puis doubter zquiime faict partir presentement pour aller ` loger à Traversis. Partie de mon armée commence à loger dans le re- ' il Gabrielle d'Estrèes. i _. il - ’ C’est-à dire de l5ijoux.— » ’ -l — - — . . ? `
