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` i DE HENRI IV.' U 505 i cardinal d’Austriche est arrivé. Toutesfois, nous n’en avons poinct d’autre advis, et ne changerons poinct de place pour cela. Si j’apprens aultre chose, je le vous feray sçavoir ; cependant je vous prie advertir un chacun de se tenir prest pour venir à la feste quand je leur man- deray. 'Bonjour, mon compere. Ce XXI]': fevrier, à Cervay. 4 HENRY. ” - Q 1596. — 23 riâvmnn. U Orig. — B. Pm. Fonds Béthune, Ms. 9037, fol. 30. . Copie. —Suppl. fr. Ms. 1009 . [AU CONNÉTABLE.] ` Mon Cousin, Oultre la lettre que je vous escris de ma main, je vous fais envoyer celle-cy pour vous prier d’advertir les s" de Vitry et d’Hallencourt‘ qu'ils se trouvent dedans le cinquiesme du mois rochain avec leurs com a nies les lus fortes u'ils ourront, au- P » . P É P fl P prés de Compiegne, affin d’en pouvoir estre assisté, si les ennemys nous viennent voir, comme ils nous en menacent et que l’on nous en donne advis de toutes parts ; dont vous serés adverty plus certaine— I ment quand je y verray plus clair : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa garde. De Cervay, le xx11_]° de fevrier 1596. HENRY. p ma iveurvitmz. . [ 1596. ] — 25 Fiâvmen. ~ Orig.antog1 apl1e. — B. R. Fonds Béthune, Ms. 9065, fol. i. Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-2; A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon compere,.Si j’eusse esté hyer blessé, je nleusse failly de le vous escrire ; mais pour ce que ce n’estoit qu’un coup d'esperon, en- " Cest M. d’Alaincourt, fils de M. de Villeroy. x.nr1~m :s ma imm : iv. iv. W 64.