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DE HENRI IV. p 501 leifaire chercher, et s’il se trouve, me le renvoyer, et vous tenir prest, carje ne faudray à vous inander si tost que j'auray advis certain des ennemys. A Dieu, mon compere. Ce x1_]° fevrier, à Folembray. i . HENRY. ` [1596.] - 1l ; FÉVB1EB. — I'°. il Orig. autographe.- B. B. Fonds Béthune, Ms. 9107, fol. 1. Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-3. I ` A MA COUSINE LA DUCHESSE DE NEVERS. Ma Cousine, La Vieuville m'a dit Vostre plainte, que j’ay trouvée tres bien fondée. Je vous asseure aussy que ce n’a jamais esté IIQOD intention que ce faict passe ainsy ; je desire trop conserver à mon ne veu, Vostre 1ils, l’auctorité de la charge que je luy ay donnée. La I faulte vient de celuy qui a escript les estats, laquelle j’ay commandé- estre amendée à vostre contentement. Partant soyés en repos, je vous prie, et vous asseurés tousjours de famitié que jeivous porte. J e prie Dieu, ma Cousine, qu’il vous tienne en sa garde. Ce XIII`]`! fevrier, à Folembray. _ ` HENRY. 1596. - il ; FÉVRIER. -11*****. . Orig. - Arch. municipales de Besançon, carton intitulé Lettres des Rois de France. U Copie transmise par M. Clère. A MESS“‘ LES GOUVERNEURS DE LA VILLE DE BESANQON. Mess", .lC, l1‘OllV€ fort cstrange la longueur que Vous apportés au payement des quinze mille escuz dont Vous avés fait bailler lettre de change payable aux s"' Bonnisy de Lyon, lesquels m’en ont secouru sur fasseurance que leur ay donnée que les en rendrés contens, me _ — semblant vous avoir assez obligez à ce faire, tant par la double com- - position que Vous avés eue de moy, qu'encore puis naguere en la re- mise que je vous ay faicte de dix mil livres, dont vostre depputé em-.