Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/517

i DE HENRI IV. l199 COIHIIIC DOUS VOUS BU PI’loIlS Qt (lC CI’Ol1’C (IUE CGSTB faulte ne procedde que de la continuation de la guerre en nostre Hoyatune, IIOUS empesche (lt! S&lLlSf3.lI’C_ si iPI‘01'IlPî€IIî61”1î; (IUC IIOUS desirerions à ce que nous avons promis ; vous asseurant que nous I1,0l)IIlCUlI`_01'1S &LLlCUI]( É chose POU? VOUS (lODI1CI‘ OCCEISIOH (lt! CI’OlI‘€ (IUC DOUS 3.VOI1Sl8. COI1S6I’V3.lllO1’1 (lû vostre amitié CD SlIlgUll8I‘6 1`CCOII11D&11 (lë1tlOI1, 2llHSy (IUC DOUS EIVODS (lCClEt1“é È. VOS 3.Il'l.l)B.SS&<l€UI’S ; et S6l’OI1S T.I’BS §1ySBS, GI} tous &U’£I‘€S €I`1<ll‘0lCl ;S', dû VOUS tOSII10lgD€I‘ Paf tous vrais et sinceres ellects l’estime que nous faisons de vostre bonne et, parfaicte amitié : priant Dieu, Tres cher et grand amy, allié et confe deré, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. Escript a Fo» I lambray, le x_]° jour de febvrier 1596. ` ‘ p HENRY. ' v DE NEUFVILLE ; . 1596. — 1 1 riâviusn. — II“‘°. Orig. — Arch. du canton de Zurich.^Copie transmise par M. Yambassadeur de France- en Suisse. A NOS TRES CHERS ET GRANDS _AMYS, ALLIEZ .ET CONFEDEBEZ, LES BOUBGMAISTRE ET CONSEIL DE LA VILLE ET CANTON DE ZURICH. Tres chers et grands amys, alliez et confederez, Vous vous estes, €I`1llI’C lO11S 3.U.ltI‘€S, lOUSjoUI’S HIODSLPCZ si 3.lli8CîliO11I1€Z 3U. l)i8I1 Bt 3.(l= V£:tIîC€IDBI1lZ (lé —I1OS 3.ll`&lI’€S, qUiOUl'LI‘€ la l€tl I‘€ (IUC DOUS VOUS €SCI’lP— vous en general, nous vous avons bien voulu faire ceste—cy particu~ liere, pour vous prier de croire que nous aurons tousjours en speciale I‘€COIIlïI1&l1(laIloI1 I10I1-S€Ul€l'I10Ht C6 POUI’I‘£1 &(lV&I1C€1“ VOS Pûyë- mens, mais encores tout ce qui sera de vostre contentement, vous I priant aussy de prendre en bonne part si les interests des interests, qui vous sont deubs, et qui avoient esté requis avec tant d’instance par , vos &mlL)&SS&(lCUI’S, DC VOUS Ollf esté &CCOI’d€Z, POUT 8S|L1`C ()l10S€ 611- tierement contraire à l’usage des lois de tout temps observées en ce Boyaulme, et aussy que les dicts interests ne pourroient estre jamais V6I’lllCZ C11 I1OSiI’B COUTÈ de P&I’lC1D€I1È Dy CD I1OS(1`€ Cll&II1l)I‘8 .(l8S ' 63.